paysages, corps, couleurs, matières, vitesses en arts plastiques, en numérique.
2015 (2014-2014), generative video ,
Film infini, compressions dansantes de données vidéo montées à la volée
Diffusion générative, dimensions variables
Xvid + Max/Jitter + Quicktime perian
Distribution
Galeries/Musées
Le havre : Les bateaux, des plus petits aux plus grands du monde vont et viennent. Et le vent souffle sur l'océan. Il souffle le long de cette côte et de ses falaises. Le vent souffle et pousse délicatement l'humidité de l’écume à la verticale des murs de craie pour le déposer sur les feuilles des arbres, en soufflant, il emporte les couleurs et les formes se mélangent presqu’à l’infini. Cette Normandie se rappelle nouvelle à chaque fois que l’on y pose le regard.
Le havre : boats, from the smallest to the largest of the world arrive and leave. And the wind blows over the ocean. It blows along the coast and its cliffs. The wind blows and gently pushes scum's dampness to vertical chalk walls to drop it on the leaves of trees, blowing, it carries the colors and shapes blend almost infinitely. This Normandy remembers as new each time we are looking at it.
Alexis Jakubowicz, Emprunt «digital» à Montreuil, Libération, Le 7 mai 2015
La Maison populaire présente "Ré-émergence", deuxième volet d'un hommage du numérique à l'histoire de la peinture, de la photographie et du cinéma. (...) Et sur un mur de la modeste galerie, c'est un motif carrément fauve que signe Jacques Perconte. Son paysage filmique a été trituré directement dans les codecs, dispositifs qui gèrent les algorithmes de compression et de décompression d'un signal. L'artiste y met sa patte comme les pionniers du cinéma et de la photographie mettaient les leurs dans la pellicules à grands coups de ciseaux.(...)
L’art et le numérique en résonance : Ré-émergence; à la Maison populaire, 9 bis, rue Dombasle, Montreuil (93). Jusqu’au 4 juillet. Rens. : www.maisonpop.fr
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Dominique Moulon, avril 2015
Ses paysages filmiques, Jacques Perconte les envisage d’une manière résolument picturale. Des applications qu’il expérimente, il ne retient que les approximations. Pourtant, il n’y a pas plus d’accident dans ses films qu’il n’y en a dans les peintures de Jackson Pollock. Tout nous apparaît contrôlé bien que rien n’ait été véritablement anticipé. Avant une exposition, il arrive même à l’artiste de modifier quelque peu ses “réglages”, comme pour mieux s’adapter au contexte, préservant ainsi les spectateurs de toute forme de répétition.
Films infinis, Perconte, Jacques
Jacques Perconte, Marines Sans Titre n°1, Moulon, Dominique
Cette pièce fait partie d'une série. La plupart du temps une série s'attache à un paysage, à une région. Il y a une certaine unité géographique.
Les motifs et figures que je travaille. En cours de développement
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