paysages, corps, couleurs, matières, vitesses en arts plastiques, en numérique.
2013 (2012-2013), live , 3900-8100
Producteur(s) : festival Extension Sauvage, Arcadi, Too Many Cowboys
flux vidéo haute définition manipulé en temps réel et musique live
Distribution
Cinémas
Distributeur(s) :
Julie Tippex
La lumière ondule et glisse vers la couleur. L'image se fragmente de ses millions de points et elle compose des tableaux de plus en plus complexes. Création Originale pour le festival Extension Sauvage.
Performance créée avec Jeff Mills pour le festival Extension Sauvage en 2013.
Jouée tour à tour avec Jeff Mills (électronqiue), Hélene Breshand (harpe), Eddie Ladoire (électronqiue), Yann Péchin (guitare), Julien Ribeill (guitare) et Éric Maria Couturier (Violoncelle).
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Avec l’aide d’Arcadi Île-de-France
Dispositif d’accompagnements
en vidéo : Performance Avec jeff Mills et éric Maria Couturier à La philharmonie de Paris, octobre 2015
2013-2015 avec Jeff Mills
Une rencontre inédite, imaginée par Extension sauvage, entre le DJ techno Jeff Mills et le vidéaste Jacques Perconte. Le film Extension sauvage / Wild Extension de Jacques Perconte a pour point de départ de sa fabrication des images tournées sur l'île de Madère et scénarise la question de la couleur à travers une abstraction progressive vers le paysage. Perconte inverse sa dramaturgie habituelle pour partir cette fois d'une fiction focalisée sur la matière numérique, et glisser vers des paysages au plus proche des images originelles. Le sorcier futuriste Jeff Mills, passionné de science-fiction et cherchant toujours à repousser les limites de son art un peu plus loin, est invité à prendre la vaste palette de couleurs du vidéaste comme un nouveau terrain de jeu à investir en live au travers de ses boucles planantes. Les couleurs, pixels et paysages de Jacques Perconte rencontrent pour la première fois les synthétiseurs, boites à rythme et les platines de Jeff Mills.
A new encounter, imagined by Extension sauvage, between techno DJ Jeff Mills and video artist Jacques Perconte. Jacques Perconte's film Wild Extension is based on images shot on the island of Madeira and deals with the question of colour through a progressive abstraction towards the landscape. Perconte reverses his usual dramaturgy to start this time with a fiction focused on digital matter, and to slide towards landscapes as close as possible to the original images. The futuristic wizard Jeff Mills, who is passionate about science fiction and is always looking to push the limits of his art a little further, is invited to take the video artist's vast palette of colours as a new playground to invest in live through his soaring loops. Jacques Perconte's colours, pixels and landscapes meet Jeff Mills' synthesizers, drum machines and turntables for the first time.
Par Noémie Luciani, Jacques Perconte : impression, pixel levant, Le monde, 15 octobre 2015
[...] Jacques Perconte était, samedi 10 octobre, l’invité du Grand Soir de la Philharmonie de Paris pour une performance live avec le compositeur électronique Jeff Mills. Il est bientôt minuit et la transe propre aux Turbulences numériques vire à l’extase mystique. Côte à côte, entourés de câbles et d’écrans, ce sont deux dompteurs qui s’affairent autour de la même bête : Mills fait de la musique sans instruments, Perconte de la peinture sans pigments.
Reprenant ses vues de Madère, le second invente, au fil de la musique changeante du premier, un autre film plus abstrait et pourtant plus organique : frappé d’un narcissisme cannibale, le paysage transfiguré au passage d’une vague rouge semble se dévorer de l’intérieur pour quarante minutes admirables d’immédiateté reine. [...]
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par Jérôme Provençal, Extension sauvage. L’évidence d’une rencontre. Accents Online, Septembre 2015
C’est l’événement de la rentrée parisienne 2015-16 de l’Ensemble intercontemporain. Deux nouvelles soirées de Turbulences numériques, organisées avec Nemo, la biennale internationale des arts numériques. Le programme explorera le rapport entre musique de création et arts numériques dans toutes leurs dimensions : visuelles, sonores, interactives, etc. Le Grand soir du 10 octobre se refermera sur Extension sauvage, une performance exceptionnelle, au cours de laquelle l’electronica de Jeff Mills, figure mythique de l’électro, sera sublimée par les visions fauvistes et fragmentées du vidéaste et réalisateur de films expérimentaux, Jacques Perconte.
Consécutive à une proposition de collaboration faite en 2013 par le festival Extension sauvage (axé sur les rapports entre danse et paysage), la rencontre entre Jeff Mills et Jacques Perconte paraît relever de l’évidence tant l’union artistique s’est révélée instinctive et fertile entre ces deux chercheurs invétérés, mus par un même désir d’expérimentation. Loin de les effrayer, l’inconnu exerce au contraire sur eux une irrésistible force d’attraction.
En activité depuis les années 1980, ayant fait ses premières armes comme DJ sous le pseudo de The Wizard (le Sorcier), Jeff Mills (photo ci-dessous-DR), devenu par la suite également compositeur/producteur, compte parmi les grands précurseurs de la techno made in USA, aux côtés de Robert Hood, Juan Atkins ou Derrick May. Membre fondateur du légendaire collectif Underground Resistance, il a joué un rôle primordial dans l’éclosion et l’expansion d’une musique foncièrement en recherche d’une révolution sonore comportant des dimensions utopiques. Au fil d’une trajectoire de plus de 25 ans, il n’a eu de cesse d’étendre son champ d’investigation sonore et d’explorer des zones inédites. En témoignent, par exemple, sa collaboration avec l’Orchestre Philharmonique de Montpellier en 2005, l’installation audiovisuelle Critical Arrangements (présentée au Centre Pompidou en 2008-2009, dans le cadre de l’exposition Le Futurisme à Paris), ou 2001 : The Midnight Zone, une création (dévoilée à la Philharmonie de Paris en mai 2015) mêlant danse, vidéo et musique en écho au 2001, l’Odyssée de l’espace de Kubrick – film auquel il voue une admiration sans bornes.
Jeff-Mills-2
Sans pouvoir rivaliser en termes de notoriété avec celui de Jeff Mills, le parcours de Jacques Perconte (photo ci-dessous) n’en est pas moins remarquable et procède d’une même dynamique aventureuse, tendant toujours vers de nouveaux horizons esthétiques. Après avoir étudié peinture et dessin (entre autres), Jacques Perconte s’est pris de passion au mitan des années 1990 pour les arts numériques et l’art sur internet. Effectuant en particulier un travail très élaboré sur la compression de l’image numérique (via les codecs), il apparaît aujourd’hui comme un pionnier dans ces domaines.
En oscillation entre arts plastiques, installation vidéo et cinéma expérimental, mais également entre figuration et abstraction, il mène une démarche singulière et crée des œuvres mouvantes, dont bugs, brisures et autres ratures (volontaires) sont des composantes déterminantes. Partant le plus souvent d’images d’un paysage ou d’un lieu particulier, il les (re)modèle, les altère, les transforme pour aboutir à un objet mutant, à la fois pictural et high-tech, conçu pour être découvert in situ – en salle de projection ou dans un espace d’exposition – afin de favoriser la sensation du vivant.
perconte
Cette sensation du vivant se retrouve, avec une intensité particulière, dans Extension sauvage/Wild Extension, le projet que Jeff Mills et Jacques Perconte ont initié en 2013 et continuent de développer, en l’amenant vers une forme beaucoup plus ouverte et imprévisible qu’un ciné-concert ordinaire. « Ici, la relation entre la musique et les images ne se limite pas à de l’habillage rythmique parallèle, déclare à cet égard Jacques Perconte. Il s’agit d’un vrai live audiovisuel. Dans le cadre d’un live, j’ai envie d’engager la vidéo comme un musicien engage la musique, de m’en servir comme d’un instrument. Ne pas juste mixer les images en ajoutant quelques effets mais travailler véritablement la matière même. J’aspire à révéler une autre dimension dans l’image, de la même manière qu’un musicien part des notes à sa disposition et peut les emmener où il veut. »
Au commencement du projet, il y a des images vidéo tournées à Madère, l’un des lieux de prédilection de Jacques Perconte. Après avoir un peu retravaillé ces images, il les a transmises à Jeff Mills qui, en retour, lui a envoyé quelques textures sonores. Le processus était activé. Ainsi que le précise Jacques Perconte, « la connexion s’est vraiment faite au niveau du travail que chacun d’entre nous développe sur la matière ; Jeff en particulier au niveau des fréquences sonores et moi au niveau des boucles vidéo. En live, mon travail consiste pour une grande part à manipuler les boucles vidéo. C’est du jeu entre les boucles “parfaites” et les boucles “imparfaites” (celles qui “sautent” par endroits) que vont naître les effets de couleur et de distorsion. Ce travail au niveau des boucles et des fréquences permet d’avoir une quantité incroyable de possibilités. »
De fait, Extension sauvage porte particulièrement bien son titre dans la mesure où la performance semble aussi extensible qu’indomptable, sa durée – de 48’ à 1h40, jusqu’à présent – pouvant varier autant que sa tonalité en fonction des dispositions d’esprit de Jeff Mills et Jacques Perconte, de la relation qui s’instaure avec le public et des contextes scéniques dans lesquels la performance s’inscrit. « Ça peut être très costaud comme ça peut être assez léger, indique Jacques Perconte. Il est arrivé que ça se décide au tout dernier moment, quand nous sommes sur le point d’entrer en scène. Lors de la toute première performance, au festival Extension sauvage, Jeff était parti vers quelque chose d’assez abstrait, en n’utilisant pas du tout de “pied” ou de percussion. Une autre fois, en revanche, à Châlon-sur-Saône, les gens avaient envie de sauter partout tellement il y avait d’énergie dans ce qu’il jouait. »
Entre Jeff Mills et Jacques Perconte s’est établie une relation d’étroite connivence, basée sur une grande émulation réciproque. Perconte, qui travaille ou a travaillé avec des musiciens aussi divers que Fennesz, Hélène Breschand, Kid 606, Julie Rousse ou Jean-Benoît Dunckel (moitié du binôme Air), avoue trouver une excitation particulière dans la collaboration avec Jeff Mills. « À mes yeux, une performance implique nécessairement un challenge. Or, jouer avec Jeff représente un énorme challenge. Il a une capacité magistrale à produire un rythme musical. Il peut repérer des formes rythmiques dans l’image et se caler dessus pour construire sa musique. Ce qu’il fait est à la fois très structuré et très puissant. Ça ne cesse de monter en puissance. Par ailleurs, il est d’une dextérité et d’une vivacité incroyables. Notre collaboration s’apparente à un dialogue très stimulant dans lequel chacun de nous s’engage avec la même détermination. J’ai vraiment l’impression qu’il n’y a pas de limites dans le travail avec lui. »
C’est très exactement l’impression qu’Extension sauvage cherche – et parvient – à communiquer au spectateur : l’impression, pour le moins galvanisante, de se trouver emporté dans un libre flux d’images et de sons dont les opérateurs, agissant en totale synergie, ne se fixent aucune limite préétablie.
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par Steven Guyot : deux soirs de turbulences numériques à la philharmonie (9 et 10 octobre 2015), toutelaculture.com octobre 2015
« Turbulences numériques » c’est la tentation de l’art total qui s’agite dans la moindre particule, qui prend forme dans la moindre onde sinusoïdale et nous consume dans un temps numérisé, peuplé de 0 et de 1. C’est aussi bien sûr la transversalité entre l’acoustique, l’électronique et la vidéo qui désigne, qui nomme aujourd’hui la matière, l’objet sonore du paradigme contemporain. C’est pour finir le croisement entre l’acoustique, l’acousmatique et le signal vidéo numérique, qui fait jaillir un geyser magique, parfois contrarié de molécules futuristes. Ponctué d’entractes assurées par le pointu label InFiné et son DJ Gordon, avec comme apogée la prestation démesurée de Jeff Mills, délavée de pixels et de flares conçues par le réalisateur expérimental Jacques Perconte, ces deux nuits de tapages sensorielles nous ont fait muter en O.A.N.I.E (Objet Artistique Non Identifié).
Après deux entractes ponctuées par le label précédemment cité InFiné, c’est au tour du mythique Jeff Mills de Détroit accompagné ici du réalisateur et plasticien Jacques Perconte de clore cette ultime panorama de la création et de la fusion, voire de la collision de tous ces agrégats sonores et visuels.
D’une durée de 40 mn, ce dispositif électronique et vidéo accompagné dune prestation étourdissante de Eric-Maria Couturier (violoncelle – ensemble inter-contemporain), joue sur notre perceptions du son, de la musique et de l’image, et de la façon dont le dialogue s’installe entre les deux artistes.
Composés de plusieurs blocs avançant tour à tour horizontalement et verticalement, cette vaste construction polymorphe donne une ampleur symphonique et magistrale à cette dernière turbulence numérique. A travers un processus de pixellisation qui va de l’abstraction à la réalité, les vidéos de Jacques Perconte subliment de couleurs fauvistes cette expérience unique. A noter l’introduction jazz-vocale de Jeff Mills qui sonne comme anachronique dans cette soirée, comme si le numérique avait du mal à se mélanger à cette note exotique.
Cette grande traversée sonore et visuelle proposée par ces deux soirées de turbulences numériques, profondes et très unifiées, nous ont permis dans le cadre exceptionnel de la Philharmonie de Paris, de nous rendre compte de l’ampleur de l’impact de la technologie sur les arts. Véritable création à part entière, la juxtaposition de matériau sonore et visuelle semble avoir ouvert définitivement la porte à l’art de demain.
Décomplexé de toutes ces cases uniformes où elle devait se plier sans déborder, la composition polymorphe, multiple et hybride, semble être en passe d’être la voie ou converge l’esprit créateur d’aujourd’hui : la fusion des arts, la fusion des sens, la collision.
Ce concert à été diffusé en direct sur les sites internet concert.arte.tv et live.philarmoniedeparis.fr où il restera disponible encore pendant 4 mois.
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par Christophe Loubes, Jeff Mills-Jacques Perconte : une odyssée de l'espace mercredi au Rocher de Palmer, Sud-Ouest, septembre 2014
Programmée en ouverture du festival panOramas, la rencontre entre le DJ star de Detroit et l'artiste visuel originaire de Bordeaux a impressionné mercredi à Cenon.
Bien sûr, c'était aussi la soirée de rentrée du Rocher de Palmer, avec son lot d'invités, et cela explique aussi que la salle de 650 places ait été copieusement remplie. Bien sûr, beaucoup de ces invités découvraient les univers de Jeff Mills, DJ fondateur de la techno de Detroit, et de Jacques Perconte, pionnier du traitement numérique de l'image, et tous n'ont pas forcément adhéré à ce qui se passait sur l'immense écran installé sur la scène. Mais les deux artistes ont bluffé ceux qui étaient venus spécialement pour eux, et ils ont idéalement lancé le festival panOramas, biennale associant arts numériques et sites naturels.
Car ce sont bien de grands paysages que Jeff Mills et Jacques Perconte ont dessiné. Fondamentalement marqué par l'univers de la science-fiction, le DJ a retrouvé ses petits dans les lignes de fuites colorées, les images de failles spatio-temporelles que l'artiste visuel créait en compressant ou décompressant des vidéos sur son ordinateur. Comme un "2001, l'odyssée de l'espace" d'aujourd'hui.
Jeff Mills a pu surprendre son public en ne jouant pas un set techno classique : peu de boîtes à rythmes, des atmosphères en suspens, des emprunts aux musiques balinaises ou aux oeuvres pour piano des minimalistes américains (Philip Glass ? Steve Reich ?). Mais Jacques Perconte a encore plus surpris. Comment le fait d'agir sur ce qui n'est que du calcul algorithmique peut-il donner un telle impression de matière : gouache, glaise, plastique ou métal ? Tous deux ont en tout cas fait voyager le public. Et démontré que le Rocher de Palmer est tout à fait adapté à des propositions de ce genre, encore marginales dans l'agglomération bordelaise.
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par Charlotte Imbault, ‘Gestes Verts’, mouvement, Août 2013
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par Smaranda Olcèse, Un live prodigieux : Jeff Mills et Jacques Perconte ‘Extension Sauvage : Retour Sur Un Festival Qui a Du Corps...’, Inferno, août 2013
En compagnie de Jeff Mills, l’entrée en matière de Jacques Perconte est d’emblée radicale. Dans sa démarche de recherche de la puissance originaire du paysage, le vidéaste, maitre des codecs et des compressions, revient dans un premier temps aux racines élémentaires de l’image, la réduit aux pulsations de la couleur : des nappes monochromes envahissent l’écran du cinéma Chateaubriand de Combourg, dans un rythme de plus en plus rapide. A l’intérieur des patterns abstraits, générés par des algorithmes affolés au contact des sons de Jeff Mills, la peau du monde se laisse entrevoir selon différentes lignes de fissure. Les tons atteignent des climax de saturation, avant de verser dans un bleu enveloppant sous l’influence de la musique subitement dramatique, chargée d’affect du vétéran de la techno de Detroit. Les images de Jacques Perconte, qui se tiennent pour cette performance au seuil de l’abstraction, à ce point où seule la force des éléments impose sa spécificité – telles ces vagues qui s’acharnent sur des rochers au milieu de l’océan : Madère – confèrent une densité rare à une création sonore qui procède à son tour par sublimation et ajouts de fréquences. Conjointement, les vagues souvenirs non identifiables, les résidus et traces que charrient les nappes de Jeff Mills, apprivoisent, dramatisent l’intensité brute des images : rumeurs acides, murmures étouffés, respirations profondes, le magicien de Detroit nous entraine tout en douceur dans un voyage vertigineux aux creux de la matière labourée par Jacques Perconte.
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par Juliette Verga, Extension Sauvage, Bazouges La Perouse. Chateau de La Ballue’, Paris Art, aôut 2013
Le festival intégre d'autres arts pour provoquer des rencontres surprenantes. Après Min Tanaka sur la route de la danse en Indonésie de Katsumi Yutani, le cinéma Chateaubriand (un enfant du pays) accueille un événement détonnant. Le maître de la scène électronique de Détroit, Jeff Mills, rencontre le vidéaste Jacques Perconte qui maltraite encodage et compression en temps réel dans une démarche proche des premiers cinéastes expérimentaux qui griffaient, brûlaient ou recouvraient d'encre les pellicules. Ce filmeur fou regrette de ne pas retrouver la puissance originaire d'un «instant de paysage» sur ses vidéos, il tord donc la matière même de l'image numérique jusqu'à retrouver l'impact d'un paysage traversé. Monochrome ou en effondrement, l'image pixelisée laisse échapper des formes humaines, le ressac infini, les rochers du littoral tandis que la bande-son se fait tour à tour dramatique, chargée de réminiscences techno, de voix fantomatiques et de souffles. Aux frontières de l'abstraction, la performance Extension sauvage, vidéo et musique, se joue des palimpsestes, secoue les traces, remue les souvenirs, laboure les affects.
(S8) Mostra de Cinema Periférico 2016. Los nuevos impresionistas, Pallier, María
El artista visual Jacques Perconte presenta su vídeo-instalación en Palexco, A. P. Q.
Jacques Perconte instala su bosque digital en Palexco dentro del (S8), M.G.M. A Coruña
Extension Sauvage, Veloso, Gonzalo
Jacques Perconte: Explorateur de la plasticité de l'image, Catala, Laurent
Jacques Perconte : voies et formes de la libération du signal, Jacobs, Bidhan
L’espace multimédia des turbulences électroniques, Tosi, Michel
Jacques Perconte : impression, pixel levant, Luciani, Noémie
Jeff Mills-Jacques Perconte : une odyssée de l'espace mercredi au Rocher de Palmer, Loubes, Christophe
Extension Sauvage, Olcèse, Smaranda
Cette pièce fait partie d'une série. La plupart du temps une série s'attache à un paysage, à une région. Il y a une certaine unité géographique.
Les motifs et figures que je travaille. En cours de développement
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